L’oeuvre “Marilyn Monroe Diptych” 1962 d’Andy Wahol

Il y a un dicton d’un artiste célèbre que j’aime bien, c’est: « À l’avenir, chacun aura son quart d’heure de celebrité mondiale. »

C’est le dicton d’Andy Wahol, l’un des artistes modernes que j’admire le plus. Il était un artiste typique américain du mouvement Pop Art qui a commencé en Europe dans les années 60.  Je l’admire bien pour sa personnalité et son talent à travers ses œuvres d’arts. Il a été de changer les concepts de l’art contemporain, en brisant les frontières entre l’art et le commerce. En effet, Andy Wahol a été inspiré par la publicité, le média, le cinéma, la photographie, les objets quotidiens… On peut trouver la société de consommation pragmatique américaine à travers ses travails artistiques.

Andy Wahol est célèbre pour les thèmes populaires qui sont très proches du public tels que les boîtes de soupe Campbell, les bouteilles de Coca-Cola, les superstars hollywoodiens contemporains… Particulièrement, l’une des plus grandes inspirations d’Andy Wahol, c’est vraiment Marilyn Monroe, une star fameuse à ce moment. Si on  dit à Andy Wahol, on pense immédiatement aux  séries des photos séduisantes de Marilyn Monroe.  C’est que son oeuvre «Marilyn Monroe Diptych» en 1962 qui est le plus typique de cells.

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L’oeuvre “ Marilyn Monroe Diptych” en 1962 par Andy Wahol

Marilyn Monroe  est  peut être le symbole suprême de la féminité et de la sexualité, vues par les hommes occidentaux dans sa époque, alors la Gold Marilyn est sans aucun doute l’ultime emblème de ce mythe vu par Andy Wahol.

“Marilyn Monroe Diptych” est l’un des séries des peintures les plus célèbres de Marilyn Monroe d’Andy Warhol, pour commémorer sa mort mystérieuse au 5 Août 1962. Elle a été realisé avec la technique d’acrylique sur toile par sérigraphie en 1962, de 250.4 sur 144.8cm. La photo de Marilyn Monroe que Wahol a utilisé dans cette peinture a prise en 1953 par Gene Kornman pendant la campagne publicitaire du film Niagara.

En effet, dans cette oeuvre, on peut trouver deux fois vingt-cinq portraits de Marilyn Monroe. On dénombre vingt-cinq portraits de l’actrice sur paneau à gauche et vingt-cinq sur celui à droit. Sur le côté gauche ceux-ci sont en couleur, sur le fond orange.  Les cheveux de Marilyn sont jaunes, avec quelques masses noires créant ainsi un volume, et une forte impression de cheveux permanentés. Son visage et son cou sont violets, et quelques nouvelles masses noires viennent marquer les ombres sur son visage, comme celle de son menton sur son cou ou encore celle sur sa joue gauche. Ses paupières mobiles sont comme maquillées d’un bleu turquoise,  c’est la couleur que l’on retrouve d’ailleurs collée à gauche de son cou, comme pour signifier le col d’une chemise. Sa bouche est ouverte à paraître des dents parfaitement blanches soulignées par une bouche maquillée de rouge. Enfin sur le coin gauche de son visage, on trouve un point en noir d’un grain de beauté ou d’une mouche.

Sur paneau à droite, on se trouve les vingt-cinq portraits de Marilyn sont exclusivement en noir et blanc, son visage apparaît d’un seul coup beaucoup plus triste, mélancolique ; son regard perdu dans le vague, et son sourire comme forcé, figé. D’une part, son visage est pratiquement recouvert entièrement de noir, ne laissant apercevoir que quelques morceaux de visage.  D’autre part, les portraits sont flous comme si de l’eau avait été renversée sur eux.  Enfin, sur la droite de ce panneau, le visage de Marilyn disparaît petit à petit et de plus en plus sous des couches de peintures blanches.

En fait, Andy Wahol prend ainsi une seule photo d’origine de Marilyn Monroe et le copie 50 fois, dans une série de cinq lignes et dix colonnes. Sur paneau à gauche, c’est la domination de la plupart des gammes couleurs vives chaudes. Elles évoquent l’émotion du colère,  de la joie, de la souffrance, du bonheur, des succès et des échecs. Ici, en utilisant la technique sérigraphique avec des couches de couleur différentes, Andy Wahol dépeint un concept vague: Couleur de la célébrité . C’est les couches de couleurs originales, vivantes, qui se superposent sur le même plan. Derrière les couches de couleur, c’est que le vrai visage qui se cache la haine, la douleur et la solitude ?

En revanche, le paneau à droite apparaît uniquement deux gammes noir et blanc tristes; parfois elles n’évoquent aucune émotion. Il représente la fonte dans l’espace, avec les visages sombres, lointains. C’est probablement les deux côtés contradictoires d’une personne ? Le panneau de gauche apparaît ainsi comme symbolisant la vie de Marilyn Monroe, star hollywoodienne, aimée, reconnu et heureuse. Toutes ces 25 images impressionnantes colorées disent à une bonne vie. Et le panneau de droite, c’est la face cachée de Marilyn qui aurait aimer qu’on l’écoute avant de la regarder, et qui a fini par se suicider le 5 août 1962. Il est sous-entendu un message que tout peut complètement disparaître ou oublier. C’est que un symbole du contraire, une partie est la vie, et celle est la mort. En répétant ainsi l’image, il évoque son omniprésence dans les médias et réalise ainsi une fusion de deux de ses thèmes récurrents : la mort et le culte de la célébrité.

Avec “Marilyn Monroe Diptych”, Andy Wahol rend hommage à une icône. Il élève la star au rang d’œuvre unique, et paradoxalement, la reproduit en série. Ainsi la question de l’accessibilité de l’art est soulevé, bien que la démarche reste singulière, unique.

Jusqu’à maintenant, on ne comprend pas bien la signification, le but des peintures typiques d’Andy Warhol: du Coca-Cola, le boîte à soupe de la marque Campbell aux portraits des stars Marilyn Monroe, Liz Taylor, Jackie Kennedy, Elvis Presley,… C’est une critique, un complice, ou simplement une illustration de la société américaine dans les années 60?

D’une pat, on sait bien qu’Andy Wahol choisit Marilyn Monroe pour le sujet régulièrement de ses peintures, comme il choisit souvent les bouteilles de Coca-Cola. Pour Andy Warhol, peut être les bouteilles de Coca-Cola sont bons en termes de conception. Ils sont aussi un symbole pour toutes les classes sociales américaines, des riches aux pauvres. Andy Wahol a proclamé : « L’Amérique a inauguré une tradition où les plus riches consommateurs achètent en fait les mêmes choses que les plus pauvres”. C’est ridicule, c’est un paradoxe! En outre, Marilyn Monroe est un symbole de beauté sexy, féminin. Tous les deux considrent comme les étoiles dans la société de consommation américaine à cette époque.

D’autre part, Andy Wahol a dit : «Mes peinture sont seulement d’illustrer le pays que j’aime, c’est les Etats-Unis» ou « Si vous voulez tout savoir sur Andy Warhol, regardez simplement la surface de mes peintures, de mes films et de moi-même. Je suis là. Il n’y a rien derrière ». Cependant, à travers “Marilyn Monroe Diptych”, en passant par les couleur sur ce tableau, on trouve le style d’Andy Wahol vigoureux, hardi, extravagant, rebelle, qui brave les règlements, mais on trouve aussi celui recueilli, profond, aimant, qui sympathise avec la mort d’une jolie femme talentueuse. C’est sa vraie personne ?

“Marilyn Monroe Diptych” représente 50 images égales de Marilyn Monroe dans une composition des cinq lignes et dix colonnes. Cela semble en surface barbante. Les mêmes images sont répétés comme les produits fabriqués en mass dans les usines. Pour Andy Wahol, peut-être qu’il n’y rien spécial derrière cette disposition.  Cependant, je pense que la disposition des images ainsi que celle des couleurs sont très intelligentes.  Elles expriment exactement le concept de l’art de lui: « simple et efficace ». De plus,  la multiplication à partir d’une image d’origine ainsi que la transition progressive des couleurs sont attractives le public. On peut voir les différents états du même figure. Cela le rend curieux, amusé, comme on ne les avaient jamais vu auparavant. En fait, cette composition de Andy Wahol démontre également la société industrielle où il vit. La télévision, les journaux,  magazines et Hollywood produisent quotidiennement des nouvelles images. On élargit la culture populaire. Tout est prêt à consommer. « Si un œuvre d’art est facilement à la mort, ses millions de copies prouvent son existence ».  Andy Warhol préfère son travail mécanique en utilisant la technique de sérigraphie. Il a dit: « Il est trop difficile de peindre. Les choses que je veux montrer sont mécaniques. Les machines ont moins de problèmes. J’aimerais être une machine. »  Andy Wahol veut que les figures dans ses peintures sont produites en masse comme une machine. « Tout est plastique mais j’aime le plastique, je veux être plastique » (Andy Wahol)

Ici le portrait de Marilyn Monroe est multiplié en plusieurs exemplaires dans les carrés.  L’artiste nous donne deux buts suivantes: grandir en générale la dimention du tableau pour augmenter la persuasion; et rendre le tableau vivante.

En outre, le caractère unique de l’oeuvre réside ici dans la répétition de l’image, le témoin d’une certaine société de consommation. La répétition de l’image renvoie à l’idée que tout nous est proche. On voit souvent dans les medias le sourire de Marilyn Monroe et la répétition de l’ image rend le public inoubliable, en semblable les effets de la publicité et de la télévision.

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Les autres oeuvres d’Andy Wahol avec la composition et la répétition de l’ image comme “Marilyn Monroe Diptych”

Derrière la composition et la répétition de l’ image comme sur le tableau “Marilyn Monroe Diptych”, c’est que le style et le point de vue artistique d’Andy Wahol. D’une part, elles obligent les spectateurs à regarder simultanément les images identiques à voir ci-contre, elles révèlent une attaque décisive contre la prééminence des images uniques de l’art traditionnel. D’autre part, elles présentent son opinon de l’art ainsi que celle de la société. En effet, Andy Wahol voit ici la société de consommation américaine des années 60 où on valorise des superstars, célébrités et considère le valeur de l’argent plus haute que tout. Alors qu’on peut trouver le symbole du dollar dans l’autre œuvre d’Andy Wahol (100 Coke Bottles et 100 Dollar Bills – 1962). Andy Wahol a directement dit à ses collaborateurs qu’il aime l’argent, qu’il peint pour ganger beaucoup d’argent et qu’il apprécie le système qui engendre des superstars et des célébrités. Pour lui, «L’art des affaires est bien plus intéressant que l’art de l’art ».  La propriétaire d’une galerie l’a déjà indiqué que: « Dessinez ce que vous aimez le plus, c’est l’argent ou ce que tout le monde connaît bien, par exemple la boîte à soupe ! ».

En fait, Andy Warhol ne se contente pas de reproduire fidèlement les traits d’une société industrielle et commerciale, comme on l’a trop souvent répété en se référant à des propos provocateurs. Il a pleinement participé aux innovations formelles des années 50. Il est en tous les cas au centre de l’art du redoublement au 20éme siècle pour avoir utiliser avec brio l’art de la duplication. De même, il s’inscrit dans l’histoire du minimalisme pour avoir crée grâce à une simple technique de duplication et de simplification.

En résumé, Pop Art et Andy Wahol ont clairement une grande influence dans la mode moderne. Plusieurs créateurs de mode célèbres ont inspiré de ses œuvres, par exemple Jean Paul Gautier, Yves Saint Laurent … Aujourd’hui, le portrait de Marilyn Monroe continue apparaître populairement sur des T-shirt des jeunes comme le majeur vivante de la vitalité de ses travails artstiques et le mouvement Pop art pour le public.

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La collection Pop Art en 1966 d’Yves Saint Laurent

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Le portrait de Marilyn Monroe continue apparaître populairementsur des T-shirt

 

Le destin des œuvres d’Andy Wahol est également dramatique comme le combat des couleurs primaires dans ses peintures. Les critiques d’art n’est pas compromissoire pour ses travails artistiques. Il y a seulement deux extrêmes distinctes: le mépris ou la stupéfaction.De nos jours, le valeurjusqu’àquelques dizainesde millions de dollarspour une peintured’AndyWaholest égalementunepreuve de lavaleur de ses œuvres et l’influencepuissante de ceuxpour amenerl’artplus proche du public.  Il n’y a rien qui peut empêcher un artiste d’enrichir de ses œuvres ?

 

 

Le Palais de Tokyo, l’endroit magnifique pour le défilé

De nos jours, le palais de Tokyo est un des lieux les plus prisés de Paris.  Son nom d’origine est « Palais des Musées d’art moderne ». C’est un bâtiment consacré à l’art moderne et contemporain qui se situe dans le 16ème arrondissement de de Paris. On peut dire aussi c’est un centre d’art culturel perpétuellement en mouvement. Edifié à l’occasion de l’Exposition internationale de 1937 et officiellement inauguré en 1961, le palais de Tokyo accueille les collections du musée d’Art moderne de la ville de Paris. Prospectif, actif, mobile, interdisciplinaire et convivial, planétaire et local, imaginatif et concret, c’est ce qu’on peux dire sur ce lieu mythique.

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Plais de Tokyo

Palais de Tokyo l’occasion de repenser le rôle de l’institution culturelle face à l’accélération permanente de nos vies. Parcourir les 7 700 m² du Palais de Tokyo, c’est se laisser envahir par l’art contemporain sous toutes ses formes, peinture, sculpture, mode, vidéo, design, danse… et même littérature avec la librairie tendance… et encore cinéma puisque l’espace éclairé par des lanternes rouges abrite quatre salles dédiées.

En effet, ici on retrace  l’histoire des différents courants artistiques du XXe siècle : le cubisme, avec Léger, Picabia, Delaunay, Picasso et Braque, l’expressionnisme et le fauvisme, avec Vlaminck, Rouault et Matisse, et l’Ecole de Paris, avec Modigliani et Soutine. Le musée s’ouvre aujourd’hui sur les tendances les plus actuelles de l’art contemporain dans ses supports les plus divers.

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Le Palais de Tokyo dévoile une surface d’un monde étrange où les nombreux artistes invités explorent chacun à leur manière. Ce lieu à la personnalité unique fait interagir la création et la société d’aujourd’hui. Il invite les publics et les artistes à partager l’aventure de l’émergence de nouveaux comportements, de nouvelles formes, de nouveaux langages, de nouvelles beautés.

D’ailleurs, on peut trouver la décoration magnifique dans quelques endroits du Palais de Tokyo de style japonais. Ce sont des motifs floraux sur les murs ou l’étage.

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La décoration de style japonais du Palais de Tokyo

Le Palais de Tokyo, l’endroit magnifique pour le défilé

Le Palais de Tokyo est aussi le lieu qui présente les défilés ou des expositions de mode  des maisons les plus renommées. On a vu ici les défilés de Vanessa Bruno, Christian Lacroix, Kenzo, Luis Vuiton, Dries Van Noten… pour la Fashion Week de Paris. Surtout, le Palais de Tokyo a présenté une exposition riche de Chloé, la marque  élégante, imaginative, modernité et fantaisiste qui retrace son histoire au travers des créateurs qui l’ont rendue célèbre et des collections mythiques.

En effet, dans l’atmosphère légère, la scénographie à installer les mannequins dans des vitrines à chaque groupe exposé, le motif d’une telle présentation pour s’accorder avec les vêtements, un temps fleuri, un temps géométrique, de même que les baies vitrées du Palais sont censées créer une harmonie lumineuse avec les filtres de verre placés au fond des vitrines. Le palais de Tokyo est vraiment un l’endroit magnifique pour les défilés.

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En résumé, le palais de Tokyo est un espace d’art ouvert à tous, est consacré aux artistes contemporains. Il est souple, adaptable à toutes les formes de création. On peut prendre son temps, flâner, apprécier, admirer, s’étonner et se retrouver soi-même. Et l’on peut même venir avec bonheur à l’art contemporain.

L’ESPRIT ETHNIQUE VIETNAMIEN DANS MON UNIVERS

Je suis d’origine vietnamienne. Je suis née dans une petite ville de montagne, ce n’est pas loin de Ho Chi Minh ville, le plus grand centre commercial de Vietnam. Comme les autres vienemmiens, j’aime bien des valeurs cuturels traditionels vietnamiens.

Je suis en train d’aprendre la mode dans une école de mode à Paris, la capitaine de la mode du monde. Et pour ma collection de fin d’année, j’ai choisi le thème ETHNIE VIETNAMIEN. Mon source d’inspiration provient de la broderie des tribus ethniques à Sapa,  une petite ville au montagne  du nord du Vietnam.

En effet, le Vietnam compte 54 ethnies minoritaires divisées en plusieurs centaines de tribus. Certaines possèdent leur propre dialecte avec des costumes traditionnels.  Sapa se trouve dans les montagnes qui sont parsemées de petites villages où vivent différentes ethnies qui s’appellent les Mongs. Sapa nous donne une vue magnifique vers la vallée étonnante, comme le paradis, où on peux rencontrer et toucher des nuages blancs.

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Sapa au Nord du Vietnam

La broderie est une tradition qui se transmet de mère en fille chez les Mong, tous leurs vêtements sont brodés à la main et de toutes les couleurs. Elles vendent aussi leurs réalisations au marché, où les différentes ethnies se rencontrent. Généralement, elles brodent sur du lin qu’elles teignent avec de l’indigo. Elles filent et tissent le chanvre et elles tirent sans cesse des fils. Puis, elles font sécher  le tissu dehors avec de la teinture.

Les femmes courageuses et travailleuses qui cultivent, s’occupent de leur maison et enfants, brodent, cousent, tissent et filent.  Elles marient les couleurs comme jamais nous n’oserions le faire. Et même les tissus fluos dont elles se servent pour illuminer leurs grandes jupes, ne sont pas choquants. C’est gai, coloré à foison, et époustouflant de bon-goût.

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Les produits de la broderie aux couleurs chatoyantes sont exposés en vente dans le marché. Les couleurs sur les costumes des ethnies minorités reflètent sa vision optimiste et son amour à la nature. C’est pourquoi la gamme de couleur est toujours fraîche et brillante.

Et les motifs sont géométriques, floraux, recherchés et délicats.

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On crée beaucoup de produits de la broderie.  Ils sont très beaus et diversifiés. En plus, des habits traditionnels, il y a toutes sortes de produits de brocart, tels que des sacs à dos, sacs à main, chapeaux, , draps, foulards, bracelets, oreillers, portefeuilles … avec de nombreux motifs délicats du traditionnel au moderne.

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Les femmes  portent des vêtements ornés de broderies rouges et de pièces de monnaie, ainsi qu’un foulard  sur la tête, il y a plusieurs manière de chapeau pour les femmes et ca m’intéree1ra bien afin d’inspirer  pour ma collection.

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A partir de ces éléments traditionnels, je vais les mettre dans ma collection. C’est aussi la combinaison entre la tradition et la modernité. Elle est  une jolie partie dans mon univers.

Le marché Saint Pierre, le royaume des tissus

Je ne connais pas très bien avant les tissus au marché Saint Pierre à Paris. Un jour, j’y suis venue car je voulais choisir les tissus pour ma collection de fin d’année, et  j’ai véritablement découvert ce lieu mythique.

On descend à la station Anvers ou Barbès Rochechouart;  plus qu’un boulevard à traverser et voilà dans le royaume du tissu. Même sans plan, la bonne direction est facile à trouver puisqu’ici le textile envahit les trottoirs et les boutiques portent toutes des noms évocateurs : « Galerie des tissus », « Dreyfus déballage du marché Saint-Pierre », « Sacrés coupon », Tissus Reine, Moline Mercerie … On peut dire que ce lieu est le plus grand magasin de tissus au monde.

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Le marché Saint Pierre

On trouve que les nombreuses enseignes spécialisées dans la vente de tissus se concentrent au pied de la butte Montmartre, dans le 18e arrondissement de Paris.  Implantées là depuis plus d’un siècle, elles sont connues pour proposer à leurs clients de bonnes affaires. De nos jours, marché Saint-Pierre devient le quartier préféré des couturières, des stylistes et des décorateurs… Il est une institution dans le monde du textile,
où se mêlent traditions et modernité. Aujourd’hui, on peut trouver de la soie de qualité importée directement d’Asie, des jolis jacquards importée de Moyen-Orient.

De plus, on peut trouver ici tous les tissus: coton, lin, tissus synthétiques, déguisment, ameublement, fausse fourrure, patchwork, wax, linge de maison; soieries, lainages, voilages, cuir, fourrure, velours, tulle, dentelle avec des bons qualités… De quoi faire le bonheur de tous les amateurs de tissu. Les prix les plus intéressants sont affichés au rez-de-chaussée de manière à appâter le chaland : de 99 centimes à 3 euros le mètre. J’ai trouvé énormément des magnifiques tissus floraux qui corespondent à ma collection dans les magasins de tissus d’ameublement.

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Parmi des magasins de tissus au marché Saint Pierre,  « Dreyfus déballage du marché Saint-Pierre », Tissus Reine, Moline Mercerie sont les plus grands magasins.

Le magasin « Dreyfus déballage du marché Saint-Pierre est célèbre dans le monde entier. On commence normalement chez Dreyfus, on peux monter à tous les étages, s’extasier devant les nouveaux tissus imprimés, les matières, fouiner dans les tissus en promo, admirer les tissus pour patchwork rangés par couleurs… Il a un espace de vente de 2.500 m2 répartit sur six niveaux. À l’intérieur, le fourmillement des vendeurs a quelque chose d’étourdissant. Des vendeurs rapides et précis pratiqués dans un décor suranné : parquet au sol, comptoirs et caisses en bois, éclairage rétro…

Après, Moline Mercerie fait partie des incontournables de Paris. Ce magasin est assez immense. Les tissus sont vendus sur 5 étages, et également à l’extérieur, on peut y trouver de tout. Ici, les prix ne sont pas exceptionnels mais restent corrects,  il y a souvent des étals de tissus à un prix plus intéressant au rez de chaussée.

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Moline Mercerie

Et Tissu Reine est aussi le temple du tissu Liberty à Paris. Le magasin a environ une centaine de motifs différents, ce qui est d’une grande rareté à Paris, et les propose à un prix de 22 euros, certes élevé, mais souvent moins cher qu’ailleurs. La principale différence est que l’on s’y repère plus facilement. L’air y est moins électrique, et il est plus agréable de déambuler parmi les tables de tissus. Au rez-de-chaussée, il faut au moins prendre le temps de regarder quelques-uns des modèles miniatures de robe réalisés à partir des textiles proposés, et portés par des minis mannequins de bois.

Pour moi, je suis ravie d’avoir trouver cette adresse òu donne le bonheur à tout le monde. Le marché Saint-Pierre, l’endroit mythique de Paris où l’on pouvait encore se procurer des jolis tissus.

Antonio Marras un créateur impressionnant chez Kenzo

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Antonio Marras, l’ex- directeur artistique de Kenzo Femme qui  a présenté ses collections pour la marque Kenzo que nous avons permis d’ouvrir les portes de son univers. Il est né en 1961 à Alghero, en Sardaigne. Il est très tôt initi é au monde du prêt-à-porter via le magasin de tissus familial, transformé par la suite en boutique de vêtements.

D’abord, on trouve qu’il travaille également sur le mélange des influences et le brassage des cultures. Ses sources d’inspiration sont très riches et vont de l’Orient à l’Amérique du Sud en passant par la tradition japonaise. En effet, l’une des forces d’Antonio Marras est de toujours réussir à moderniser les codes de la Maison Kenzo. Carreaux et lignes, fleurs et unis, se mélangent et créent une nouvelle harmonie de motifs faite de contrastes et de jeux. En outre, il s’inspire également  du théâtre, de la danse,de  la musique ou encore du cinéma . 

L’art en général lui passionne beaucoup. Il est curieux de tout, il aime flâner dans les musées et visiter des expositions.

Et ce que il admire chez Kenzo, c’est sa modernité, cet univers à la fois si cohérent et si hétérogène. Il aime la façon personnelle de mélanger des genres et des styles en apparence différents mais dont l’assemblage devient poétique et naturel.

 

Juun J un créateur coréen à découvrir

Juun J est un jeune créateur avec le style futurisme. nous serons découvrir ses collections.

Il a obtenu le diplômé d’Esmod Séoul en 1992. Il est successivement créateur pour « Chiffons », puis directeur de création pour « Club Monaco » et « NIX ». En 1999, il lance sa marque « Lone Costume » qu’il fait défiler pendant la Semaine des Collections de Séoul. En juillet 2007, il défile pour la première fois dans le calendrier officiel de la Semaine du Prêt-à-porter masculin de Paris. Dans chaque sa collection, Juun J nous propose des costumes aux lignes millimétrées et géométriques. Il joue sur la superposition de formes géométriques tel un origami.

 

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